Zénith, moment de grâce
où l’instant espéré enfin se pose
A jamais incrusté en désir accompli
Et lutter sans relâche pour rester au pinacle
A l'instar du soleil qui darde au midi
Pour ne pas redescendre au pays misères
Dûment affrontées pour grimper au sommet
Si durement conquis
Zénith, point culminant où t’a mené ton rêve
Tu as tant bataillé pour atteindre le top
Te voilà aujourd’hui au sommet sans un flop
Maintenant que tout là-haut tu es….
Faudra-t-il redescendre au nadir
Et tout recommencer pour encore conquérir
Un autre et un nouveau zénith ?
Zénith, telle est ta renommée
Que les gens du spectacle ont emprunté ton nom
Pour inscrire sur leurs murs, ton ciel et ton acmé
Signe de réussite et de félicité.
Belle ode au zénith et belle évocation au monde de la musique auquel je ne puis qu'être très sensible !
RépondreSupprimerJoli ! Mais devant l'Olympia détrôné·e, que va nadir.e Manet ? ;-)
RépondreSupprimerAh, le zénith ! C'est pas là qu'on suspend l'épée de Damoclès ?
RépondreSupprimerjoli! et bien vu!
RépondreSupprimerle génie des alpages te va comme un gant
RépondreSupprimer..."plus dure sera la chute" mais "pourvu qu'elle soit lente" Quel magnifique poème !
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