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La technique évoluant très vite des IA aux ordinateurs quantiques. Et l’homme lui-même ne s’améliorant pas trop. Non. Demain nos codes bancaires codés sur internet en RSA ou autres, seront cassés. Du jour au lendemain. Ce jour fameux. Un triste jour. Si l’on ne s’y prépare. J’ai écrit ce sonnet ce soir … en y songeant.
TOMBER LA CHEMISE
Déchiffrer le produit - prêt liminaire en clair,
Auprès des grandes eaux dont mille mains crochues,
En codex RSA, en cachettes déchues,
Livreront ce duo dans le temps de l’éclair.
Transactions, pot au rose et mystère au cachot
Perceront la vallée aux vents des clefs de lune,
Codage et décodage en cherreront la thune,
Aux secrets de se taire, Énigma, peu nous chaut.
Codes confidentiels - arcanes du silence
Des villes de minuit aux cités aux toits noirs,
Seront cassés demain sur hacks de virulence.
Lors, chemins inconnus puis sentiers entonnoirs,
Sur le manteau, diront nos mots sans turbulence,
Nos chiffres interdits, dégueulant la balance !
Cavalier
Eh ben mon cochon, quel retour fracassant ! ;-)
RépondreSupprimerMerci Chef. Oui en mots dits héroïques et bouffons , cette fois alors ... encore, toujours. On verra.
SupprimerCavalier Fracasse, arrêtez-moi tout ça, SVP !
RépondreSupprimerAlors, je me grimerai de cape et d’épée, de pied en cap, dru et joliment.
SupprimerAh ! Ah ! 🐎
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RépondreSupprimerQuand c’est par l’auteur, c’est de la démocratie.
SupprimerCela a un petit air de "Dies irae, dies illa" ! ou d'"Apocalypse now" mais je regarde très peu le monde et le cinéma du réel, c''est par trop déprimant ! ;-)
RépondreSupprimerMince. On fait ce que l’on peut. Avec nos pauvres moyens.
SupprimerJ'imagine que ce ne sont pas pour quelques pièces jaunes que s'activent les marteaux mais bien pour les saphirs dont on a doté les yeux de cette tirelire. La pauvre : quel tour de cochon on lui joue là !
RépondreSupprimerOui, rire, mais les malfrats numériques eux se paieront alors rubis sur l’ongle, et là ce ne sera pas qu’une jolie et belle image.
SupprimerDe toute façon, ce sera la faute de Disaster Girl
Supprimermerci de raviver mes soucis, j'allais presque oublier celui-là ;-)
RépondreSupprimerAlors oublions. Pas de soucis, je tiendrai compte au futur du contenu d’en vos mots dits (pas ceusses de chez Lali chez qui on a joué tant tous les deux jadis) ici, pour ne pas raviver de souvenirs pénibles à chaque fois. Non. Si on peut.
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