Une volée d’oiseaux
a sifflé mon quotient
de tessiture illico
Et le pic épeiche,
le rythme m’a appris
A la lumière de la lune
Au creux d’une belle nuit
C’est pour ça que j’ignore
Le quotient de musique
Qui m’était imparti
Car je n’ai plus de voix
Et suis face à l’énigme
Du déclin de ma voix
Dans les bémols et les
pourquoi
De mezzo-soprano me voilà
Barytone, et ça détonne
Sans pour autant me réduire
A atteindre l’apogée
Et son quotient d’adversité
Sublime ! Surtout "Du déclin de ma voix
RépondreSupprimerDans les bémols et les pourquoi" ... Vraiment délectable.
les accidents de la vie peuvent laisser sans voix. très joli poème !
RépondreSupprimerQuelle belle utilisation de ce quotient... dans tous ses sens !
RépondreSupprimerTant que tu chantes, ça nous va !
RépondreSupprimerbrillamment décalée, ta jolie chanson de barytone
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