Un
jour, dans une petite ville paisible, une adolescente pleine de talent
artistique et dotée d'une grande imagination, décide de jouer les
tatoueuses improvisées. Armée de son briquet, de son aiguille à coudre
noircie, et de son courage, ou peut-être de son imprudence, elle
commence à tatouer de magnifiques initiales représentant les éléments
sur son propre avant-bras. Elle se dit qu'avec son art, elle pourrait
même se faire un peu d'argent de poche.
Un soir, alors qu'elle s'entraîne sur un ami qui voulait un petit tatouage discret d'un poisson, une rumeur se répand :
ATTENTION 

UN NOUVEAU GANG A ÉMERGÉ EN VILLE !
On
parle d'un "clan redoutable" tatouant ses membres avec des symboles
mystérieux. Cette rumeur devient si folle que certains commencent à
chuchoter que cette jeune tatoueuse est en réalité la cheffe d'un tout
nouveau groupe Yakuza clandestin.
La situation
devient incontrôlable lorsqu'un vétérinaire en ville, surpris par le
talent de la jeune fille, lui demande si elle peut l'aider à tatouer les
animaux.
Par peur, les habitants s'imaginent déjà
des chiens et des chats recrutés dans ce soi-disant gang, portant des
tatouages intimidants comme des griffes croisées ou des dragons
miniatures.
Pris de panique, un voisin décide d'alerter la mairie :
-" Ils tatouent même les poissons rouges ! Je les ai vu ! C'est un gang d'aquarium maintenant !"
Finalement,
lorsque la jeune artiste explique aux autorités locales qu'elle fait
tout cela simplement pour s'amuser, gagner un peu d'argent pour financer
ses études vétérinaires, et surtout sans la moindre intention
criminelle, un inspecteur la regarde, perplexe, et lui dit :
-"
Vous savez, jeune fille, vous avez tout pour être un chef de gang mais
vous avez choisi ... les stages en clinique vétérinaire ? ...
Ironique, non ?"
Et pour couronner le tout, lorsque le stage arrive, elle se retrouve à retirer ses propres tatouages :
-" Pour être vétérinaire, il faut bien savoir manier l'aiguille ... mais pas forcément sur son propre bras !"
MORALITÉ :
Parfois nos passions nous mènent dans des situations improbables mais c'est souvent là que réside le charme de la vie.
Étonnant ! Je suis tellement âgé que j'ai connu des individus qui utilisaient cette technique rudimentaire et sans désinfection ! ;-)
RépondreSupprimerLà aussi, je suis perdu ! Le yakuza, c'est celui qui pique dans la caisse ou c'est celle qui pique dans la fesse ? Et quand on est mariés, ce qui est tatoué est à mouè ?
RépondreSupprimerOK, je sors !
:-)))
SupprimerBonjour Joe Krapov,
SupprimerVous m'avez fait rire avec votre commentaire !
Je dirais que le Yakuza, c'est celui qui pique dans la caisse mais moi je me contente de piquer dans la créativité ...et dans les bras.
Quand à ce qui est tatoué, à l'époque, c'était à mouè, mais aujourd'hui, il est parti avec la sécurité sociale ! 😆
Bien amicalement, Marie Sylvie