Plus que le coton
C'est l'molleton
Qu'elle préfère
Pensive elle est oisive
En caleçon molletonné
C'est l'molleton
La nuit pour dormir
Chemise et pantalon
Pyjama et bonnet
C'est l'molleton
Qu'elle vénère
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Le jour pour sortir
Pour faire les commissions
Odorat affuté
Coups de pattes incisives
C'est l'molleton !
(Merci pour cette chanson inspirante !)
C’est une très belle réussite dans le genre de la miniature poétique : tu dis beaucoup avec très peu de mots, et tu le fais avec un vrai sens du détail sensoriel. Ce texte donne envie de ralentir, de se glisser sous une couverture, et de sourire.Cela pourrait presque devenir une chanson ou un sketch poétique, à la manière de Pierre Etaix ou Philippe Katerine : un éloge de la paresse molletonnée face à un monde pressé.
RépondreSupprimerSi tu en faisais une suite, j’imaginerais bien une strophe sur les saisons :
L’hiver, c’est sa saison,
Parce qu’il fait raison
D’aimer le molleton.
Bravo pour cette écriture pleine de douceur et de personnalité.
Mouarf ! Faut que j'en achète un pour le chien qui est une chienne ! Déjà qu'il ne supporte pas son pull-chaussette rouge, il va faire une crise ! (peut-être qu'il y restera, on peut rêver...) ;-)
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