Io Sono solo e triste
Dans mon château haut perché
Avec mes murailles grises
Et les créneaux acérés
De ma forteresse blindée
Et mon horloge qui marque
Les semaines et les années
Les silences des journées
Rien ne pourrait m’arriver
Ma solo sono e triste
Rien ne peut me consoler
Mon amour s’en est allé
Prince fier noble imprenable
Hostile à la société
Les portes j’ai verrouillé
Le pont levis j’ai levé
Et derrière les meurtrières
Les archers prêts à tirer
Guettent les malavisés
Qui oseraient approcher
Pour ma retraite troubler
Ma sono solo e triste
Rien ne peut me consoler
Mon amour s’en est allé
On dirait une ballade de dame du temps jadis...
RépondreSupprimerBravo !
En te lisant, j’ai senti l’horloge battre la solitude d’un prince retranché—muraille levée, cœur baissé—et chaque « Io sono solo e triste » résonner comme un pas qui s’éloigne.
RépondreSupprimerPas la peine de me tirer dessus, archers !
RépondreSupprimerPeut me chaut ce triste prince !
L'ukulélé rose et moi
N'aimons que princesses gaies !
;-)
Bon voilà que l'Amour s'en est allé !! Moi qui te pensait équilibriste, là tu l'a laissé tomber !!
RépondreSupprimerTous les éléments du romantisme sont réunis... et tu les assembles fort bien !👏
RépondreSupprimerGrand merci à tous mais je n'étais pas là cette semaine pour lire et vos textes et vos commentaires . Aujourd'hui seulement, je me rattrape !
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