Sous les coupoles d’or, au milieu des festins,
Vit un Nabab, maître de mille destins.
Parfums, luxe et banquets somptueux
Ne comblent pas sa vie à ses yeux.
Un soir, dans la foule, il vit une lumière;
Une femme du peuple, simple et fière.
Son aura éclatait, comme une survivance.
Le Nabab changea de vie pour sa confiance.
Il la suivit loin des palais étouffants,
Quittant trône, trésors et serments.
Plus tard, il trouva dans sa pauvreté,
La seule richesse qu’il ait jamais goûtée.
Le Nabab épousa la femme à l'aura bénit.
Elle le combla bien plus qu'un génie.
Il ne quitta plus jamais sa Nababesse.
Pour lui c'était sa seule prophétesse.
une belle histoire de nabab
RépondreSupprimerFrançois
c'est un conte de fées :-)
RépondreSupprimerMagnifique histoire
RépondreSupprimerL’amour chez les nababs, oui, ça existe ! Merci Ghislaine de l’évoquer de façon originale et poétique !
RépondreSupprimerNous sommes bien d'accord : simplicitas rime avec veritas ! ;-)
RépondreSupprimerUn conte de fée, même sans fée !
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