... au bas mot
Quand
Les jetons d’ivoire se dament le pion
Aux premiers postillons,
Aux palets noircis sycomores,
More and more, éperdus,
Pas perdus, qui
Sous les dés joués,
Déjoués, enjoués …
Quand
Les cuirs des gobelets
Se lancent des défis,
Les flèches vertes et claires
S’alternent en feutrines
Et se piquent de marquetteries,
Sous les dés entrevus,
Touchés. Mais pas joués …
Sous les dés retrouvés, qui
S’alignent
En lignes,
Malignes,
Pour en découdre …
Alors,
Aux rebords des étages,
Qui errent,
Qui gèrent,
Dans l’air,
Mine de rien …
Mais, les dés décollés, bien collés, qui
Arrangés,
Réarrangés,
Bientôt,
Dans les massifs noyés bruts,
... Seront enfin bien rangés.
Lothar
Jouer avec un coffret ginger joli en bois de noyer massif
PS : pour le fun
Et surtout, tant que Disaster Girl n’est pas là ... Tout va !
Tes vers sont bien meilleurs que les illustrations IA (qui ne sont pas mal, elles, mais c'est pas mon truc).
RépondreSupprimerMerci, joye ... j’avais bien compris déjà ... mais bon. L’image ne se fait pas toute seule. C’est juste un outil. À dompter. Et la seconde était juste petit clin d’oeil pour toi.
Supprimerah tu casses la baraque, auras-tu la baraka ?
RépondreSupprimerMarrante l'histoire de Disaster Girl. on ne peut pas dire qu'elle ait le sourire rassurant... ;-)
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