Encore! vous exclamerez-vous...
Ben quoi, vous répondrai-je, je me dois de me conformer à un des innombrables mots-injonctions qui font la loi aujourd'hui et donc, je recycle ! (C'est pas une raison pour me prendre pour un petit homme vert, hein...)
J'ai commencé la semaine dernière avec l'histoire du doudou Raoul et je continue aujourd'hui avec celle-ci.
Si vous recherchez la consigne ayant donné lieu à cette ponte lointaine, vous verrez qu'elle porte le numéro 69 et qu'elle est l'œuvre d'une des mères fondatrices de ce blog : Val&rie, laquelle nous invitait à nous "étendre sur le sujet" deux semaines d'affilée. (Elle se prenait peut-être pour Birkin). Alors, n'allez pas me dire que c'est moi qui ai l'esprit mal tourné pour avoir proposé un sujet pareil sur ce blog : y a des précédents !
Pour revenir à mon petit rappel historique, la première semaine, j'avais usé de ma technique habituelle du botté en touche et éludé la question. Ce n'est qu'après le rappel à l'ordre de la boss de l'époque que j'ai imaginé ma nouvelle intervention, ce qui explique son titre.
C'est si loin tout ça...
tu as peut-être été "chat" dans une autre vie pour si bien botter en touche (ou footballer), pour le coup, ce défi à du chien !
RépondreSupprimerFootballer, j'ai été (amateur, ça va de soi, je déteste les pros du foot), chat, c'est limite : il s'en est trouvée(s) pour m'appeler ainsi, mais côté souplesse de félin, j'ai quelques manques (surtout dans les pattes aujourd'hui).
Supprimerpattes de mouches peut-être ?
SupprimerT'en voudrais pas un fac-simile par hasard ? ;-)
SupprimerDe beaux souvenirs, les textes qu'on a écrits il y a quelques années ! Et de belles surprises aussi...,)
RépondreSupprimerMadame est trop indulgente ! :-)
SupprimerJ'ai retrouvé mon texte du défi#69 - une érotitude pyrénéenne - qui n'arrive pas à la cheville de ton texte brûlant de sensualité. Re-bravo
RépondreSupprimerOui, la Père Noël qui descendait par la cheminée avant de grimper aux rideaux ! :-)
RépondreSupprimerBen dis donc tu fais bien de faire du recyclage. C'était chaud...à l'époque. Bon, ça va, je sors...:-)
RépondreSupprimerReste encore un peu, respire !
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