La tourmente brulante de
l’été s’enfuit
Les feuilles se colorent de
flamme
Et le ciel est d’un bleu si
pur,
Si indéfinissable
Qu’il t’emporte vers le songe
Dans la forêt chantent les
chanterelles
En chœur avec les oronges
Et l’érable au fond du jardin
Rougit de ses nouveaux atours
Resté tout l’été frustré,
noyé,
Dans la verdure de ses
confrères
Il attendait son heure
glamour
Et ses habits de lumière
Pour être le premier
Avant l’heure sacrificielle
De l’hiver et ses gelées
criminelles
Splendide ! Pourquoi ne passes-tu pas plus souvent ?
RépondreSupprimer(Je sais... tu préfères quand c'est moins "tarabiscoté" :-) )
il attendait son heure glamour! bien vu, bien dit :-)
RépondreSupprimerLes champignons chantent et les arbres dansent... juste au moment où j'écoute Vivaldi ! Je crois que je vais aimer l'automne, dans ces conditions ! ;-)
RépondreSupprimerQuelle fête ! Et quelle inspiration !🍁🍂
RépondreSupprimerTout le splendide automne est là dans ton poème Lecrilibriste. Exactement celui que j'aime avec ses ciels dragée à nuls autres pareils. Merci chaleureux.
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