À l’âge où on croit les adultes omniscients, mini-Adrienne était intriguée par deux petites phrases de son grand-père qui lui semblaient contradictoires.
« La qualité se paie », disait-il, quand un tissu bon marché n’avait aucune tenue.
On ne devait donc pas se plaindre, on avait « regardé à ses sous » et on était refaits, c’était dans l’ordre des choses.
Mais à côté de ça, il y avait cette autre petite phrase, qui disait que « ce n’est pas parce que c’est cher que c’est bon ! »
Il fallait donc avoir l’œil – le sien, de préférence, le regard de l’expert – pour évaluer si c’était de la camelote bon marché, l’affaire du siècle ou du brol de luxe ;-)
Merci de nous parler de mini-Adrienne et de sa précocité. Chez moi, pas d'expert, on disait juste « on en a toujours pour ses sous ».
RépondreSupprimeroui cette phrase-là est en franche contradiction avec l'autre, qui installe l'idée d'un rapport qualité prix ;-)
SupprimerOn lui tire quand même notre chapeau ? ;-)
RépondreSupprimer:-)
SupprimerLa deuxième maxime est en contradiction avec celle de notre fille qui donne parfois l'impression de penser que "c'est cher donc c'est bon !" :-)
RépondreSupprimerla notion de "rapport qualité prix" m'est venue juste après, vers mes 8-10 ans, quand mon père lisait ses gault&millau ;-)
SupprimerYvanne
RépondreSupprimerMais non je ne suis pas muette ! Et c'est quoi le juste prix alors ?
SupprimerPas facile de s'y retrouver et parfois on paie cher quelque chose qui n'est pas de qualité...
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