Humour
C’est là le souvenir
De trois petites femmes,
Qui loin de dépérir,
Ont oublié d’être diaphanes.
La cage d’ascenseur,
Vient comprimer leur pulpeuse chair,
La surcharge les guette, quel malheur,
Peu solides sont les parois de verre.
L’anecdote a été peinte,
Façon vitrail sur le mur,
Avec une ferveur empreinte,
Pour vous faire sourire à coup sûr.
Les trois grâces* jeu de mot avec une orthographe respectueuse
J'avais pas osé le faire le jeu de mot et puis, il y a quelque chose de voluptueux dans leur posture...
RépondreSupprimerMARIE SYLVIE
RépondreSupprimer24/07/2025 21:46
Cher François,
Quelle créativité !
Tu as réussi à transformer une scène du quotidien en un poème plein d'esprit.
Le titre est savoureux et tes vers sont remplis d'humour.
Félicitations pour ce divertissement poétique !
Bien amicalement, Marie Sylvie
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Ghislaine
RépondreSupprimer24/07/2025 09:17
ah mais oui je n'y aurais pas pensé a l'ascenseur !! Mdr François !!
Zaza
RépondreSupprimer24/07/2025 08:12
Mais quelle idée de vouloir monter de front à 3 dans cette cage d'ascenseur, François...
Bises et bon jeudi - Zaza