Je suis là à coté de Vincent
Derrière son bleu infini
Qui allégera le fardeau du monde qui vient.
A quoi rêves -tu Vincent ?
En peignant ses Iris,
Es-tu follement amoureux ?
Que bois tu Vincent le soir au moment où tes tournesols s’inclinent ?
Absinthe ou café noir
Que préfères -tu
Les femmes nues ou voilées ?
Fleurs après fleurs
Iris après Iris
Pas un geste,
J’avance à pas de soie
Nous sommes maintenant comme deux amis
Qui partagent le pain
Je reviendrai Vincent cueillir ce bouquet
Pour en parfumer ma chambre
Ton âme ainsi déplacée me manquera moins.
Pour inclure un fichier son dans Blogger, il faudrait installer un lecteur MP3. J'ai préféré (parce que je suis fainéant) choisir une image du Hollandais volant et m'en servir pour faire une vidéo où l'on entend ta voix.
RépondreSupprimerJoli texte...
Magnifique Tokyo. Comme les iris de Vincent qui doit, là où il est, être sensible à tes mots et à ta voix.
RépondreSupprimerOn les respire d'ici ! Sensass ! et applaudissements.
RépondreSupprimerLa poésie visuelle laisse libre court à notre imagination. Si on savait, est-ce que ce serait aussi prenant ?
RépondreSupprimerBelle idée d'évoquer les iris de Vincent et ta voix chaleureuse me transporte à Arles où il a laissé son empreinte !
RépondreSupprimerTu as raison, Ce bouquet a vraiment dû l'émouvoir pour le peindre de cette manière
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