Je l’ai comme un cheveu sur la langue
C’est le pont d’Arcole celui où mon bisaïeul trépassa un soir d’été
Clamant sa flamme à sa dulcine
Je l’ai comme un cheveu sur la langue
C’est mille ans de dette à des prisonniers en bastillonnés à la gloire d’un nain.
Quelques répulsions archaïques me font penser que le cercle de bon ses qui nous habite trouvera une issue à ces ponts en milieu aride.
Sous un pont coule la seine tais-toi Verlaine !!
Tant de sensiblerie agace le siècle
Avant quand tu écrivais tu avais l’air d’un con qui fait campagne pour un pont vers la gloire
Je ne suis pas vulgaire c’est l’époque qui veut ça
Alors enjambons ce siècle et d’un seul trait de fusain dessinons un pont
Que nous traverserons avec nos gardes du corps !!!
Tu m'as l'air bien remontée contre Nabot Léon... :-)
RépondreSupprimerLe pont a dopé ton inspiration et ton texte m’évoque la cérémonie d’ouverture des JO avec la Seine dàs le rôle principal !🎉
RépondreSupprimerOui, enjambons ce siècle et passons au suivant, il sera peut être plus serein !
RépondreSupprimerPas très optimiste Tokyo mais je te comprends !
RépondreSupprimerCe texte fait penser au conte chinois où le dessinateur emprisonné dessine une porte sur le mur pour s'évader. Du reste, que faisons-nous d'autre ici, chaque semaine ? ;-)
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