Quand des nuages couleur de marbre volent à travers un ciel fou
Quand c'est les noces du vent et de l'automne
Tu t'attendrais à ce qu'un chat près du foyer se pelotonne.
Mais le nôtre en cette heure de fête
où l'automne et le vent perdent la tête
S'est installé dans un compartiment et a voyagé sans billet.
Prenez prenez la peine
La peine de vous asseoir
A déclaré le contrôleur
En soulevant son képi
Mais il n'y avait pas d'oiseau dessous.
De trein is altijd een beetje reizen
A répondu le chat.
Et moi dans mon coin je me souviens
Des jours anciens.
De Jules de Zulma de Duvel
De Pipo Rossi et Mama Moussa
De Zeta et Jones
Et de tous les autres au paradis des chats.
Mais c'est magnifique Adrienne quand tu fais des poèmes !
RépondreSupprimerMerci ! sauf que je n'ai pas compris la phrase en belge
"Le train, c'est toujours un peu voyager"
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