En hiver, c'est un grand bonheur,
En été trop chaud, c'est un malheur.
C'est une étoffe de laine que l'on peut porter,
Qui sait donner de la chaleur,
J’en ai sur mon lit en absence de couette.
Sur mon gilet doux et chaud que je porte,
Chez moi, quand j'ai refermé en hiver, ma porte.
Molleton gris, molleton rouge,
En fait, il y en a de toutes les couleurs,
Pour accompagner rideaux et draperies,
Ils permettent de nous donner de la chaleur,
Auprès de la buche rouge,
Pour un temps partagé avec sa chérie.
Mais aujourd'hui, il fait si chaud.
Que mes petits pas ont la lenteur d'un slow
Tous mes molletons au placard, je les range.
Je suis tellement déshabillé que je dérange.
En fait, pas grand-chose, je porte,
De toute manière, au frais, j'ai refermé ma porte.
À penser à toi Molleton, je me perçois en enfer,
Je reviendrai te libérer de ton tiroir en hiver.
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