C'est dans les forêts
que s'exhale le bon parfum
des clochettes d'or.
Ici le temps s'arrête
quand les peines font mal.
Sous le ciel clair de Nice
la colline s’embrase,
un souffle d’or descend
des branches légères.
Le sentier s’ouvre
comme une mer jaune,
et dans l’air doux,
le parfum des mimosas
se mêle au sel de la mer.
Ici, le temps s’arrête,
chaque fleur est un éclat,
chaque rayon un secret,
dans la forêt dorée
où le cœur se repose.
la colline s’embrase,
un souffle d’or descend
des branches légères.
Le sentier s’ouvre
comme une mer jaune,
et dans l’air doux,
le parfum des mimosas
se mêle au sel de la mer.
Ici, le temps s’arrête,
chaque fleur est un éclat,
chaque rayon un secret,
dans la forêt dorée
où le cœur se repose.
C'est dans les forêts
que s'exhale le bon parfum
des clochettes d'or.
Ici le temps s'arrête
quand les peines font mal.
Un texte lumineux avec la pointe de nostalgie qui va bien...
RépondreSupprimerTrès beau poème à la Baudelaire, le jardin comme repos de l'âme et du cœur
RépondreSupprimerTrès joli et très chaleureux. Attention quand même de voir si les Alpes-Maritimes ne sont pas toujours en alerte orange incendies ! ;-)
RépondreSupprimerOffrir un refuge sensoriel dans la forêt de mimosas où la douleur se suspend et se transforme en apaisement lumineux.je prends le cadeau
RépondreSupprimerTout en couleurs et en parfums ! Magnifique !
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