Pour ces clous qui prennent racine,
Sur la chaussée quand je pédale,
J’ai toujours avec moi ma boite de rustines
Dans ma sacoche je la trimbale.
Parce que trouée la chambre, l’air se fait la malle,
Et dans ce cas vite j’hallucine,
J’en veux à tous ces vandales,
Qui m’obligent a jouer des rustines.
La réparation devient capitale,
Je colle et pompe pour que l’air se confine,
Après avoir vérifié qu’il ne se cavale,
Nul avec sa chambre à air ne badine.
Et je pense à ce poète malheureux,
Qui disait partir c’est crever un peu.
Il aura laisser quand même quelques traces (de frein) de son passage
RépondreSupprimerOui, c'est le risque...
RépondreSupprimerTrès belle description de la prudence !
RépondreSupprimerLa citation exacte n'est-elle pas "martyr c'est pourrir un pneu" ? ;-)