Dans un petit village pittoresque, un menuisier nommé
Hugo possédait une varlope magique capable de transformer les
souffrances des gens en objets symboliques pour les aider à guérir.
Un
jour, Élise, une jeune femme souffrant d'une invalidité, vint voir
Hugo avec l'espoir de retrouver un peu de confort et de joie.
Hugo
écouta attentivement les douleurs d'Élise et, avec sa varlope magique,
commença à travailler. Chaque coup de varlope sur le bois représentait
une part de souffrance d'Élise qui s'envolait.
Tout
d'abord, il façonna un fauteuil spécial, adapté aux besoins d'Élise
pour lui permettre de retrouver l'usage de son corps avec confort et
dignité. Chaque détail du fauteuil symbolisait sa force et sa
résilience.
Ensuite, Hugo créa un lit qui épousait
parfaitement le contours de son corps, offrant un soutien inégalé pour
soulager les douleurs dorsales. Le lit devint pour la jeune femme un
sanctuaire de repos et de récupération.
Enfin,
pour finir, Hugo sculpta une balançoire enchantée, conçue pour donner à
Élise le sentiment de légèreté et de liberté. Cette balançoire magique
annulait le vertige et lui permettait de se balancer sans crainte,
ressentant la joie pure du mouvement et de l'air frais.
Avec
ces créations magiques, Élise découvrit un nouveau monde de
possibilités. Le fauteuil lui redonna mobilité et autonomie. Le lit
apaisa ses douleurs dorsales et la balançoire lui offrit la liberté de
voler sans peur.
Ainsi,
grâce à la varlope magique de Hugo, les douleurs d'Élise furent
transformées en des symboles de guérison et de renouveau. Le menuisier
et sa varlope magique devinrent populaires, et les habitants du village
trouvèrent espoir et réconfort en sachant qu'ils pouvaient, eux aussi,
transformer leurs douleurs en source de joie et de guérison.
Je crains que ceci ne soit qu'un conte, mais je passerai chez lui me faire tailler un repose-hanche... on ne sait jamais... ;-)
RépondreSupprimerBonjour Walrus,
SupprimerUn repose-hanche ...Voilà une idée qui mérite réflexion. Peut-être que la varlope a plus d'un tour dans son sac .Qui sait ce qu'elle est capable de faire ?
Bien amicalement, Marie Sylvie
Comme le dit l'affiche qui traîne dans mon séjour "Le conte c'est un mensonge pour mieux dire la vérité". Je suis ravi d'apprendre qu'en plus des remèdes de bonne femme on peut compter sur les trucs de menuisier ! ;-)
RépondreSupprimerJ'aime les conte et le tien me plait beaucoup !
RépondreSupprimerOui, à moi conte joli, deux mots. Une varlope magique, pas Lourdes, elle, mais miraculeuse aussi. Miracles dûs, eux c’est sûr, à un travail personnalisé, long et bien fait.
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