Ces pendules arrêtées
Juste avant de tomber
C'est ton héritage
Hors loge
Hors la vie
Une sorte de message
Qu'aucune horloge
Ne dit
Hormis
La dernière heure du jour
Mon amour
Et si je te demandais
Devant autant
de pendules accumulées
Comment va ta peine ?
Et pourquoi
De toi
Faut-il tant
Que je me souvienne ?
Mais souffrir
par toi n'est pas souffrir
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la biodiversité est hors loge , hors normes ?
RépondreSupprimerL’usage du titre — Hors loge — est inspiré et polysémique : à la fois hors du mécanisme, hors du cadre, et peut-être même hors du monde.Un poème délicat et profond, écrit avec une plume fine et contenue, qui dit l’absence sans pathos, la mémoire sans plainte. Il touche juste. Il touche le cœur.
RépondreSupprimerBravo Kate, ton texte s’inscrit dans la justesse et la lumière feutrée des souvenirs essentiels.
Tu serais de l'avis des Rita Mitsouko ?
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/ln0VwCqMkcA?si=fDCT3WEqCXmXfJGt
Bravo pour ce formidable horlogorallye ! ;-)
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